Semaine de l’engagement, le témoignage de Stéphane Jacquot

Par Stéphane Jacquot, Châtillon, Secrétaire national de l’UMP, Conseiller municipal délégué de Châtillon

 

« Ensemble TOUT DEVIENT POSSIBLE »

Pris dans l’enthousiasme de ce slogan de campagne, ma vie militante à l’UMP prend forme dans les Hauts-de-Seine à Châtillon, où je prends une part active dans la campagne présidentielle de 2007.
Je prends la responsabilité des jeunes populaires dans la 12ème circonscription des Hauts de Seine.
Un militantisme qui me conduit à être candidat aux élections municipales de Châtillon sur la liste de Jean-Pierre Schosteck en mars 2008.
Elu depuis cette date, je constate qu’une simple adhésion au départ s’est transformée en un réel engagement politique.
L’UMP est un parti qui fait confiance aux jeunes. Pour preuve, depuis février 2011, Jean-François Copé m’a nommé secrétaire national de l’UMP. Membre du bureau politique de l’UMP, je décide avec l’équipe dirigeante des grandes orientations de notre famille politique.

Issu d’une famille modeste, j’ai grandi dans un quartier populaire et j’ai naturellement trouvé ma place à l’UMP où le TOUT devient POSSIBLE!

Engagez vous à devenir les acteurs d’une France qui a besoin de vous.

Semaine de l’engagement, le témoignage de Camille Bedin

Par Camille Bedin, Nanterre, secrétaire générale adjointe de l’UMP, Présidente de Changeons Nanterre

 

Contrairement à beaucoup de jeunes militants, mon appartenance à la droite et mon adhésion à l’UMP n’allaient pas vraiment de soi… La « droite », je ne connaissais pas, hormis à travers les a prioris négatifs que j’entendais à la maison. Je viens d’une famille de gauche qui a voté Mitterrand en 1981, a participé à 1968 et trouvait le Général admirable mais un peu trop étouffant pour notre société… Mon père lisait Libération et le Nouvel Obs, et ma mère Télérama. Nous regardions le journal télévisé uniquement sur France 2. En un mot, je n’avais jamais connu la culture du Figaro et de TF1… !

Pourtant, j’ai eu la chance de grandir avec des valeurs qui, elles, sont au fondement de mon engagement : le travail, la liberté, l’égalité des chances par le mérite, et la générosité. Ma grand-mère m’a élevée en me répétant, inlassablement : « c’est le travail qui te donnera ta liberté » ; « il faut travailler pour être indépendante » ; « on n’est jamais mieux servis que par soi-même ». Ma grand-mère n’était pas une « femme de gauche », elle était bien plus une femme libre et moderne, anti-conformiste, qui dès les années 1920 est partie seule pendant 2 ans aux Etats-Unis, à Chicago, travailler comme jeune fille au pair au moment de la prohibition. Il fallait du courage. Elle avait 20 ans, venait d’un milieu modeste, ne parlait pas anglais et y est allée contre les recommandations de son entourage.

C’est donc avec cet héritage et ces valeurs que je me repérais dans le monde politique. Et j’avais conscience d’une chose : après 14 ans de Mitterrand et 5 ans de Jospin, soit autant d’années d’immobilisme et de conformisme idéologique, alors que le monde accélérait autour de nous, je savais que je n’étais pas de gauche…

L’arrivée de Nicolas Sarkozy a été un révélateur. Il a apporté le remède anti-fatalité, tant attendu. Comme tant d’autres, j’ai aimé le contraste qu’il donnait avec la classe politique de l’époque. Il était en lui-même une rupture, un changement d’époque, un vent de modernité, d’audace et de courage, qui balayait ce milieu poussiéreux et vieillissant. J’ai adhéré à ses valeurs, son discours, ses prises de position, son anti-conformisme, son refus des tabous et du politiquement correct. J’ai été séduite par son énergie, son volontarisme, sa détermination. Pour notre génération, il est un repère. Je crois qu’il le sera désormais pour quelques décennies…!

Semaine de l’engagement, le témoignage de Carole Hoogstoel

Par Carole Hoogstoel, Boulogne Billancourt, membre du bureau départemental des Jeunes Actifs 92

 

J’ai été très enthousiasmée par l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 et j’ai toujours défendu les idées de l’UMP. Je me suis donc naturellement engagée, il y a un an et demi à l’UMP en devenant adhérente et militante active.

Je souhaite me sentir utile, agir, défendre mes idées et promouvoir la politique que je crois être la bonne pour les français d’aujourd’hui et surtout pour les générations à venir.
J’ai rencontré l’équipe des Jeunes Actifs de la fédération des hauts de Seine et l’équipe des Jeunes UMP de Boulogne Billancourt, de jeunes militants accueillants, soudés et déterminés, ce qui a renforcé mon envie de militer et de défendre ensemble nos idées.

J’ai pu rencontrer des hommes politiques passionnés et passionnants, et être au contact des français sur le terrain pour parler de leurs problématiques quotidiennes.

Aujourd’hui, notre challenge est encore plus stratégique. Au niveau national, car il faut continuer le combat et jouer pleinement notre rôle d’opposition et au niveau local pour gagner les prochaines élections : les municipales pour ma part sur Boulogne Billancourt.

Je continue à m’investir aujourd’hui plus que jamais, car les français ont besoin de nous et ont besoin de garder espoir.