Les collectivités face aux prêts structurés

Par Olivier Bodo, référent JA sur Chatillon

 

Après l’Etat, les collectivités sont à leur tour confrontées de manière croissante aux problèmes de financement. L’explosion de la dette des communes est logique : cela découle, d’une part, de l’augmentation de leurs prérogatives couplée à une hausse exponentielle des dépenses de fonctionnement et d’autre part, à un transfert restreint des recettes en provenance de l’Etat

Pour faire face à cette hausse des dépenses et à une stagnation des recettes, les collectivités ont eu massivement recours aux prêts dits structurés (plus connus médiatiquement sous le sobriquet de « prêts toxiques ») proposés par la banque Dexia. Les taux associés à ces prêts reposent à la fois sur une part fixe (sans danger) et sur une part variable dépendant de la variation d’une valeur comme le cours d’une devise (risquée car sans limite en terme de hausse et reposant sur une forte part d’incertitude). Ainsi, à leur insu, les collectivités de gauche comme de droite, se sont transformées en spéculateur en pariant sur une évolution favorable du sous jacent sur lequel la part variable est adossée.

Compte tenu de leur situation actuelle, on peut dire que le pari est perdu. Des communes comme Asnières ou Angoulême et des départements comme la Seine Saint Denis en ont fait l’amère expérience. Ces quelques cas ne représentent que la partie visible de l’iceberg car de très nombreuses communes ont souscrit aux produits proposés par Dexia. Cependant, leur situation étant moins critique, elles arrivent, pour le moment, à gérer la situation.

A ce niveau se pose la question de la responsabilité? S’agit-il des conseillers de la banque Dexia ou bien des élus ? Même si la banque Dexia a été copieusement fustigée à la fois par les médias et par la presse, surfant ainsi sur l’anti « monde financier » très en vogue,  il ne faut pas mettre de côté la responsabilité de nos élus. En effet, ils sont les garants des finances publiques et à ce titre se doivent de pratiquer une gestion de « bon père de famille ». Au lieu de cela, ils souscrivent des prêts structurés aux risques avérés…. Se réfugiant derrière l’argument du bon marché ou du défaut de conseil, ils oublient soigneusement de préciser qu’ils ont tout simplement signé pour un produit qu’ils ne comprenaient pas et sans se poser davantage de questions !

De cette constatation découle une autre interrogation : celle de la compétence. Les élus sont bien trop souvent éloignés des réalités économiques, il faut que cela change et que des citoyens issus du secteur privé intègrent les conseils municipaux pour accompagner efficacement les communes dans leur développement. Une sorte de partenariat public – privé dans lequel les collectivités ne pourront être que gagnantes. En 2014, pourra t on dire que ce changement est pour maintenant ?

Résultat National de la Présidence de l’UMP

Selon la COCOE, Jean-François Copé est élu Président de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP), avec 50,03% (87 388 voix) des voix, face à François Fillon, qui n’obtient que 49,97% (87 290 voix).

On nous annonçait des résultats très serrés au niveau national, et nous le constatons, car seulement 98 voix séparent les deux candidats à la Présidence de l’UMP.

Les militants se sont fortement mobilisés pour cette élection qui a passionné nos sympatisants, nos adhérents et nos militants.

Dès aujourd’hui, l’UMP doit se mobiliser derrière le nouveau Président pour constituer une vraie force d’opposition à la gauche, aux socialistes, aux FN et aux mélenchonistes. Nous devons dès aujourd’hui nous unir pour préparer les prochaines élections, celles de 2014 bien sûr, afin de reconquérir nos territoires, à commencer par nos municipalités.

Dans les Hauts-de-Seine, nous avons un grand nombre de villes qui sont aujourd’hui aux mains des socialistes et nous devons tout faire pour gagner dans ces villes dès 2014 pour préparer la présidentielle de manière sereine.

Le nouveau Président de l’UMP doit dès aujourd’hui mobiliser le parti et le préparer à ces échéances électorales pendant les trois années à venir.

L’UMP doit tirer des leçons de ces élections qui se sont déroulés dans de bonnes conditions, malgré quelques irrégularités constatées dans certaines circonscriptions. Ces leçons doivent nous servir pour préparer l’élection à la Présidence de l’UMP qui aura lieu dans trois ans, sauf changement des statuts, ainsi que la Primaire, pour la désignation de notre candidat à l’élection présidentielle de 2017.

Nous félicitons Jean-François Copé pour son élection à la Présidence de notre parti et toute l’équipe UMP des Hauts-de-Seine se mobilise, dès aujourd’hui, derrière le nouveau Président pour s’opposer à la gauche, aux socialistes, aux mélenchonistes et au Front National et faire gagner nos valeurs, notre parti et la France, en reconquérant les territoires dès les élections municipales de 2014.

Pourquoi tant de violence ?

Depuis quelques mois, nous nous apercevons d’une recrudescence de la violence en France. Ceci n’est pas sans rappeler, les violences intervenues à la fin de l’année 2005, alors même que Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur. Des voitures brulaient un peu partout en France, et principalement dans certains quartiers. Le Ministre de l’Intérieur avait réussi à mettre fin à cette violence. Il avait su ramener l’ordre public.

Une fois élu, Président de la République, Nicolas Sarkozy avait continué à mener une politique ferme vis-à-vis de ces comportements jugés inacceptables par la société. Ces actes de haine, de mépris et même de peur avaient cessé.

En 2012, avec les socialistes au pouvoir, c’est à nouveau le laxisme qui prédomine et les délinquants l’ont bien compris. Tous ceux qui veulent vivre de petits trafiques et semer la terreur pour développer leur « Business », choississent la France pour créer leur « Entreprise », comme un banquier choisirait Londres pour ses projets investissements.

La France est devenue un pays libre pour les délinquants et attirent tous ceux qui veulent jouer les caïds. Le Président de la République, François Hollande, ne mesure pas du tout l’ampleur de la situation, comme, il n’avait pas mesuré, l’ampleur de la crise financière. Son gouvernement fait semblant d’ignorer l’ampleur des violences actuelles parce qu’il n’a pas de solutions. Ses violences ont commencés à Amiens, cet été, pendant que François Hollande était au « Fort de Brégançon », et elles se poursuivent, avec l’assassinat de deux jeunes près de Grenoble, ou encore, par le démantèelement de cellules terroristes lourdement armés, que l’on disait instrumentalisés par l’ancien Président de la République, depuis l’affaire Mohamed Merah.

A l’approche des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre, à quels types de violences devons-nous nous attendre ? Est-ce que le gouvernement a mesuré l’ampleur des violences qui se propagent dans le pays, depuis son élection ? Est-ce que le retour de cette vague de violence, n’est pas le fruit d’un retour au pouvoir d’une gauche laxiste et permissive, ou du moins perçu comme tel par les délinquants eux-mêmes ? Est-ce qu’en élisant François Hollande à la Présidence de la République, les français n’ont pas donné aux délinquants, une autorisation de semer le trouble et le désordre dans le pays, voire de tuer, en bande s’il le faut ?

Si aujourd’hui, les français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy, c’est parce qu’ils ont peur de ce qui risque de se passer, ils ont peur pour leur avenir et l’avenir de leur pays. Les délinquants ont jugé le Président de la République et son gouvernement. Ils ont vu qu’ils n’avaient aucun charisme, aucune autorité, pire encore, aucune volonté de punir les délinquants, pour des raisons purement idéologiques. Ils n’ont aucun souci à se faire en terme de sanction. Ils savent qu’ils ne seront pas punis. La Loi, le gouvernement et les magistrats (c’est à dire, les trois pouvoirs) sont de leurs côtés, avec une gauche au Sénat, à l’Assemblée Nationale et à la Présidence de la République.

Il ne faut s’étonner de voir tant de violences, car c’est ce à quoi nous nous attendions avec l’élection de François Hollande, et c’est la raison pour laquelle, nous avons soutenu la réélection de Nicolas Sarkozy. Il ne faut pas non plus s’étonner que le gouvernement soit inapte à faire face à cette montée de violences qui poursuit lentement, mais surement, son ascension, car ce n’est pas avec son positionnement idéologique qu’il arrivera à endiguer cette vague de violence, malgré tous les efforts de son Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

Vous ne vous étonnerez pas non plus, que les côtes de popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault, continuent de descendre en flèche, pendant que la courbe des violences faites aux personnes monte.

Finalement, comme nous nous attendions tous et toutes, François Hollande et le gouvernement perdent la main sur, tout petit à petit, que ce soit au sein de la majorité (avec le non au Traité Européen des Verts) ou à l’international (avec le manque de crédibilité flagrante sur la scène internationale), et ceci à quelques mois de son élection. A ce rythme là, François Hollande perdra la main sur le pays et il ne sera plus écouté par les français. Il aura beau faire des beaux discours à la télé, au rythme où vont les choses, dans un an, le pays va être métamorphosé et des ripostes vont commencer, et les appels au calme ne suffiront pas pour stopper des actes de violences qui sont parties pour durer.

Soyez-en sures.

La rentrée des Jeunes Actifs

C’est la rentrée politique des Jeunes Actifs des Hauts-de-Seine.

Jeudi 30 aôut 2012, nous étions tous réunis à la Fédération UMP des Hauts-de-Seine, à Neuilly-sur-Seine pour préparer les évènements de la rentrée politique et ils sont nombreux.

  • Une fête départementale sera organisée par la Fédération UMP des Hauts-de-Seine pour tous les militants, au prix de 10 € (prix à titre indicatif).
  • Nous organiserons plusieurs cafés politique dans toutes les villes du département, ainsi que nous mettons en place un bureau de Jeunes des Hauts-de-Seine, dont les dates vous seront communiquer ultérieurement.

Mais pour l’instant, l’heure est à la mobilisation pour la Présidence de l’UMP et tous nos militants ont les yeux rivés vers leurs candidats. Certains osent se prononcer pour tel ou tel candidat, d’autres sont plus réticents. En politique, il ne faut absolument pas avoir peur de s’engager. C’est le jeu de la démocratie de pouvoir soutenir tel ou tel candidat sans être critiqué ou jugé. Certes, comme dans chaque élection, il y a toujours des indécis.

Nous devons nous mobiliser pour que, dans notre département, il y ait un maximum de parrainnages de la part de nos adhérents.

Cette élection est le moment de se rapprocher de nos militants et d’avoir de nouveaux adhérents. Il faut que nos militants retrouvent le chemin de nos permanences dans toutes les villes des Hauts-de-Seine. C’est l’occasion ou jamais, de montrer qu’après une défaite, l’UMP reste mobiliser pour les prochaines échéances électorales, qu’elles locales ou non.

Quelque soit le résultat des élections à la Présidence de l’UMP qui se tiendront en novembre de cette année, nous devrons rester unis et mobilisés. 

Le prochain président de l’UMP devra nous mener aux victoires que nous espérons tous. Il, ou elle, devra être le principal opposant à François Hollande et au gouvernement actuel. Il, ou elle, devra bâtir un vrai projet pour notre parti politique et pour la France.

Nous devons tous nous mobiliser pour cette élection pour faire gagner notre parti politique et montrer à la France entière, que nous avons des valeurs, des idées et un projet.

Encore une fois, mobilisons-nous tous, pour faire face aux socialistes, mobilisons-nous tous, pour un grand mouvement populaire… Appelons tous nos adhérents à parrainner le candidat qu’il préfère. Plus il y aura de parrainnage, plus nous montrerons aux français que cette élection intéresse et que nous existons et continuerons d’exister.

Soyons nombreux à faire vivre notre parti politique et Bonne Rentrée Politique 2012 à tous

C’est la rentrée…politique

Bonjour à tous. Nous espérons que vous avez passé de bonnes vacances et que cette pause estivale vous a permis de vous ressourcer, de vous reposer et de faire le plein d’énergie après une année électorale intense.

L’été a été très riche en évènements politiques.

Notre cher président normal a pu montrer tout son talent. A peine élu, et en pleine période d’essai, il se permet de prendre des vacances. Pendant ce temps-là, son gouvernement prenait des décisions qui allait à l’encontre de l’intérêt des français, comme la suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires. Normal, vous me direz, c’est Nicolas Sarkozy qui l’avait instauré ?

Qu’en est-il de la Syrie ? Qu’en est-il des évènements qui se sont déroulés à Amiens ? Il nous a dit suivre les affaires depuis le Fort de Brégançon, alors pourquoi avoir des conseils des ministres ? Pourquoi ne pas tout gérer du Fort de Brégançon dans ce cas ? La France a-t-elle besoin d’un président normal, quand sa situation économique est anormale ?

Nous avons pu assister, non pas au défilé d’un Président de la République, qui se préoccupait du bien-être de ses citoyens, mais à celui d’un Monarch de la République, qui se souciait davantage de sa côte de popularité, en se baladant de village en village.

Alors, à la rentrée, tout son gouvernement se mobilise, non pas pour réduire le déficit, mais pour augmenter la côte de popularité du Monarch de la République. Celui même qui nous disait qu’en tant que « Président de la République, il ne traiterait pas son Premier Ministre comme un collaborateur », il a omis de nous dire, qu’en tant que Monarch de la République, il traiterait son Premier Ministre comme un serveur. Si l’Elysée était un café, Ayrault aurait un tablier.

Que fait le gouvernement pour le pouvoir d’achat des français ? Il baisse le super de 6 centimes. C’est à dire, que pour cent litres de super, les français économiseront 6 euros. De quoi s’acheter un paquet de bonbons.

Vous l’aurez compris. Après 100 jours, notre président n’a pas fini d’enchaîner les déconvenues et les français se rendent compte que François Hollande n’a pas de projet pour sortir la France, d’une part, et l’Europe, d’autre part, de la crise. La zone euro ne peut pas compté sur la croissance pour se sortir de la crise. La Grèce est en récession, l’Espagne aussi… Cette année 2012 se terminera, d’après les spécialistes, avec un nombre de chômeurs supérieur à 3 millions en France. Normal, vous me direz que sa côte de popularité baisse ?

Il faut que nous nous mobilisons pour faire face à ce gouvernement de pacotille, qui n’a aucune vision, aucun destin, rien à nous proposer, à part des mesurettes pour satisfaire son électorat, et rien, absolument rien, pour redresser l’économie française.

Nous vous attendons plus nombreux cette année encore pour proposer une vraie alternative aux français. Nous devons reconquérir tous les postes de la République et préparer les prochaines échéances électorales qui s’annonce. 2017 se prépare maintenant. Mais avant, il nous faut gagner aux municipales en 2014.

Alors, mobilisons-nous et soyons présents sur le terrain pour recueillir les inquiétudes des français. Soyons proches de notre électorat, soyons proche de nos citoyens.

Le combat n’est pas terminé. Il ne fait que commencer…

Ce que les observateurs ne disent pas ou pourquoi Nicolas Sarkozy peut gagner ?

Depuis dimanche 22 avril 2012, 20h00, tous les médias ont repris du service pour mobiliser les électeurs pour le second tour. Il en va de pronostics, de sondages et de suppositions pour montrer la faiblesse de la droite et la force de la gauche. Nous avons tout entendu. Tout ? Pas vraiment…

Nicolas Sarkozy a proposé dès le soir du 1er tour au candidat socialiste de faire trois débats. François Hollande a aussitôt ironisé en proposant, pourquoi pas 6 ou 7 débats. En répondant ainsi, il s’est enfermé dans un cercle où il concentre tout sur un seul débat. Il a même refusé qu’un deuxième débat se fasse à la radio, alors même que 4 radios l’on proposé.

Or, Nicolas Sarkozy, est celui qui a tout à y gagner à ne faire qu’un débat.

1) Il n’est pas le favori des sondages, donc il n’a pas la pression d’être en tête et d’être humilié s’il perd. Il peut donc y aller serein.

2) Les français préfèrent les « petits » candidats, comprenez ceux qui peuvent perdre. Regardez Philippe Poutou qui attire de la sympathie malgré son programme, ou encore le club de football de Quevilly. Donc quelque soit le nombre de débats, la propagande socialiste enlève un poids à notre candidat.

3) Si François Hollande attaque Nicolas Sarkozy sur son bilan, il faudra qu’il aborde à son tour, son propre bilan. Et à défaut d’avoir un bilan comme ministre, il faudra qu’il parle de son bilan en tant que Député et Président du Conseil Général de Corrèze.

4) Si François Hollande attaque Nicolas Sarkozy sur son programme, il faudra qu’il aborde à son tour son propre programme, qui prévoit de donner le droit de vote aux étrangers, la suppression du quotient familial, la taxation à 75% des hauts revenus, etc…

5) François Hollande a le soutient de 700 mosqués, qui ont appelé à voter pour lui. C’est un hadicap de plus pour sa crédibilité en tant que Président de tous les français, alors même que les français ont toujours voulu séparer l’église et l’Etat.

6) François Hollande a fait un discours devant les Francs Maçons en novembre 2011 et les observateurs n’en parlent pas. Les journalistes se taisent, car ceci montre bien que le PS fait une politique clientéliste.

Si François Hollande refuse le débat, lui qui a tant à dire sur Nicolas Sarkozy, c’est qu’il est conscient des difficultés auxquelles il doît faire face. Il devance son adversaire d’un point et demi et il sait que son principal « allié » n’est qu’à la 4ème place. Encore faudraient-ils, qu’ils soient convaincus par celui qu’ils considèrent comme le « Capitaine de Pédalo ».

Alors les observateurs, pour ne pas faire ce constat, se concentre sur les voix de Marine Le Pen et spéculent sur les législatives, les triangulaires, et font mine de minimiser les difficultés du Parti Socialiste à aborder le deuxième tour avec sérénité.

Les socialistes ont pris conscience que ce n’était pas gagné et que leur candidat, pour ne froisser personne, ne fera rien pour leur faire gagner des voix. Les observateurs spéculent sur le report des voix du Front National ou du Modem sur Nicolas Sarkozy. Ils spéculent peu sur le report des voix de ceux qui sont déçus d’avoir voter au premier tour pour François Hollande. Car lui, comme les huits autres candidats, ont porté le vote contestataire.

Il y a eu au premier tour, un candidat, contre 9. Ils sont maintenant à 1 contre 1. François Hollande est aujourd’hui seul face à Nicolas Sarkozy, et il n’est plus aussi sûr de lui. C’est que les français commencent à se demander s’ils doivent rigoler de ses petites blagues ou rigoler de lui.

Nicolas Sarkozy aborde le second tour en toute sérénité, alors que François Hollande se dit maintenant que « jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien… » et repousse le débat le plus possible.

Rencontre -Débat avec Benoist Apparu, mardi 10 avril

Les Jeunes Actifs des Hauts-de-Seine organisent une réunion-débat en présence de Benoist Apparu, Ministre auprès du Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable, des Transports et du Logement, chargé du Logement, mardi 10 avril 2012 à 20h00 sur les questions autour du logement et de divers sujets d’actualité.

A 12 jours du premier des éléctions présidentielles, ce sera l’occasion de pouvoir rencontrer l’une des personnalités qui a façonné le gouvernement de François Fillon, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, et de lui poser toutes vos questions.

Alors inscrivez vite dans votre agenda ce rendez-vous à ne pas manquer. La réunion aura lieu dans le Preau de l’Ecole Elementaire Marceau au 20 rue Marceau à Vanves, le mardi 10 avril à 20h.

Pour des raisons de logistique, nous vous demandons de bien vouloir vous inscrire et/ou nous prévenir de votre participation à l’adresse suivante : jeunes.actifs.hauts.de.seine@gmail.com

Venez nombreux.  


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Jeudi 16 février : Crise de l’Euro – Peut-on sortir de l’Europe ?

2012 sera un rendez-vous décisif pour la France. Les élections présidentielles et législatives seront l’occasion pour les Français de s’exprimer sur les grandes orientations qu’ils souhaitent pour notre pays.

Pour préparer ce rendez-vous, l’UMP a bâti un projet politique ambitieux, capable de rassembler les Français et de répondre aux grands défis du prochain quinquennat.

L’Europe est au coeur de l’actualité depuis des mois et sous l’action du Président de la République, une véritable politique européenne a été mis en oeuvre pour faire face à une crise sans précédent sur notre territoire.

Pour évoquer ensemble la crise européenne et pour connaitre les risques que nous courons si nous sortons de l’Europe, Roger KAROUTCHI, Jean Jacques GUILLET, Jacques KOSSOWSKI et les Jeunes Actifs UMP 92 ont organisé une grande réunion autour de Constance Le Grip, Députée au Parlement Européen et Jean Bizet, Sénateur de la Manche (Basse-Normandie), le Jeudi 16 février 2012 20h00 à Courbevoie, Espace Jean Pierre Rives (Salle G3), 89-91 boulevard de Verdun.

La réunion a été organisée sous la forme d’ une soirée-débat sur le thème : ‘la Crise de l’Euro: Peut-on sortir de l’Europe » et de nombreux participants ont pu poser leurs questions et nos intervenants ont pu mesurer les préoccupations des citoyens français sur la question européenne.

Si l’emploi est une préoccupation majeure des français, certaines personnes dans le public ont préconisées une intervention européenne pour relancer la croissance et l’emploi dans tous les pays, sans oublier l’emploi des seniors. D’autres personnes étaient plus préoccupées par le manque d’harmonisation, alors que d’autres encore avaient le sentiment que les députés français appliquaient les règles européennes, tant ils avaient l’impression que tout se décider à Bruxelles, ce qui est bien entendu, loin d’être la vérité, comme ont pu le démontrer Constance Le Grip et Jean Bizet.

Après ces différentes interventions et un débat très riche en anecdote, un buffet dinatoire avait été mis en place pour le plus grand bonheur des participants. La soirée s’est terminée tard, tant l’ambiance était chaleureuse et conviviale.

Nous tenons à remercier Constance Le Grip et Jean Bizet pour leur présence et leur participation à ce débat sur les questions européennes.

Fédération des Hauts de Seine


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