Depuis quelques mois, nous nous apercevons d’une recrudescence de la violence en France. Ceci n’est pas sans rappeler, les violences intervenues à la fin de l’année 2005, alors même que Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur. Des voitures brulaient un peu partout en France, et principalement dans certains quartiers. Le Ministre de l’Intérieur avait réussi à mettre fin à cette violence. Il avait su ramener l’ordre public.
Une fois élu, Président de la République, Nicolas Sarkozy avait continué à mener une politique ferme vis-à-vis de ces comportements jugés inacceptables par la société. Ces actes de haine, de mépris et même de peur avaient cessé.
En 2012, avec les socialistes au pouvoir, c’est à nouveau le laxisme qui prédomine et les délinquants l’ont bien compris. Tous ceux qui veulent vivre de petits trafiques et semer la terreur pour développer leur « Business », choississent la France pour créer leur « Entreprise », comme un banquier choisirait Londres pour ses projets investissements.
La France est devenue un pays libre pour les délinquants et attirent tous ceux qui veulent jouer les caïds. Le Président de la République, François Hollande, ne mesure pas du tout l’ampleur de la situation, comme, il n’avait pas mesuré, l’ampleur de la crise financière. Son gouvernement fait semblant d’ignorer l’ampleur des violences actuelles parce qu’il n’a pas de solutions. Ses violences ont commencés à Amiens, cet été, pendant que François Hollande était au « Fort de Brégançon », et elles se poursuivent, avec l’assassinat de deux jeunes près de Grenoble, ou encore, par le démantèelement de cellules terroristes lourdement armés, que l’on disait instrumentalisés par l’ancien Président de la République, depuis l’affaire Mohamed Merah.
A l’approche des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre, à quels types de violences devons-nous nous attendre ? Est-ce que le gouvernement a mesuré l’ampleur des violences qui se propagent dans le pays, depuis son élection ? Est-ce que le retour de cette vague de violence, n’est pas le fruit d’un retour au pouvoir d’une gauche laxiste et permissive, ou du moins perçu comme tel par les délinquants eux-mêmes ? Est-ce qu’en élisant François Hollande à la Présidence de la République, les français n’ont pas donné aux délinquants, une autorisation de semer le trouble et le désordre dans le pays, voire de tuer, en bande s’il le faut ?
Si aujourd’hui, les français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy, c’est parce qu’ils ont peur de ce qui risque de se passer, ils ont peur pour leur avenir et l’avenir de leur pays. Les délinquants ont jugé le Président de la République et son gouvernement. Ils ont vu qu’ils n’avaient aucun charisme, aucune autorité, pire encore, aucune volonté de punir les délinquants, pour des raisons purement idéologiques. Ils n’ont aucun souci à se faire en terme de sanction. Ils savent qu’ils ne seront pas punis. La Loi, le gouvernement et les magistrats (c’est à dire, les trois pouvoirs) sont de leurs côtés, avec une gauche au Sénat, à l’Assemblée Nationale et à la Présidence de la République.
Il ne faut s’étonner de voir tant de violences, car c’est ce à quoi nous nous attendions avec l’élection de François Hollande, et c’est la raison pour laquelle, nous avons soutenu la réélection de Nicolas Sarkozy. Il ne faut pas non plus s’étonner que le gouvernement soit inapte à faire face à cette montée de violences qui poursuit lentement, mais surement, son ascension, car ce n’est pas avec son positionnement idéologique qu’il arrivera à endiguer cette vague de violence, malgré tous les efforts de son Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.
Vous ne vous étonnerez pas non plus, que les côtes de popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault, continuent de descendre en flèche, pendant que la courbe des violences faites aux personnes monte.
Finalement, comme nous nous attendions tous et toutes, François Hollande et le gouvernement perdent la main sur, tout petit à petit, que ce soit au sein de la majorité (avec le non au Traité Européen des Verts) ou à l’international (avec le manque de crédibilité flagrante sur la scène internationale), et ceci à quelques mois de son élection. A ce rythme là, François Hollande perdra la main sur le pays et il ne sera plus écouté par les français. Il aura beau faire des beaux discours à la télé, au rythme où vont les choses, dans un an, le pays va être métamorphosé et des ripostes vont commencer, et les appels au calme ne suffiront pas pour stopper des actes de violences qui sont parties pour durer.
Soyez-en sures.