Résultat National de la Présidence de l’UMP

Selon la COCOE, Jean-François Copé est élu Président de l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP), avec 50,03% (87 388 voix) des voix, face à François Fillon, qui n’obtient que 49,97% (87 290 voix).

On nous annonçait des résultats très serrés au niveau national, et nous le constatons, car seulement 98 voix séparent les deux candidats à la Présidence de l’UMP.

Les militants se sont fortement mobilisés pour cette élection qui a passionné nos sympatisants, nos adhérents et nos militants.

Dès aujourd’hui, l’UMP doit se mobiliser derrière le nouveau Président pour constituer une vraie force d’opposition à la gauche, aux socialistes, aux FN et aux mélenchonistes. Nous devons dès aujourd’hui nous unir pour préparer les prochaines élections, celles de 2014 bien sûr, afin de reconquérir nos territoires, à commencer par nos municipalités.

Dans les Hauts-de-Seine, nous avons un grand nombre de villes qui sont aujourd’hui aux mains des socialistes et nous devons tout faire pour gagner dans ces villes dès 2014 pour préparer la présidentielle de manière sereine.

Le nouveau Président de l’UMP doit dès aujourd’hui mobiliser le parti et le préparer à ces échéances électorales pendant les trois années à venir.

L’UMP doit tirer des leçons de ces élections qui se sont déroulés dans de bonnes conditions, malgré quelques irrégularités constatées dans certaines circonscriptions. Ces leçons doivent nous servir pour préparer l’élection à la Présidence de l’UMP qui aura lieu dans trois ans, sauf changement des statuts, ainsi que la Primaire, pour la désignation de notre candidat à l’élection présidentielle de 2017.

Nous félicitons Jean-François Copé pour son élection à la Présidence de notre parti et toute l’équipe UMP des Hauts-de-Seine se mobilise, dès aujourd’hui, derrière le nouveau Président pour s’opposer à la gauche, aux socialistes, aux mélenchonistes et au Front National et faire gagner nos valeurs, notre parti et la France, en reconquérant les territoires dès les élections municipales de 2014.

Résultats de l’élection à la Présidence de l’UMP dans les Hauts-de-Seine

François Fillon est en tête dans les Hauts-de-Seine avec 4 502 voix (54,9%) contre 3 698 (45,1%) voix pour Jean-François Copé.

Cependant, au niveau national, le résultat validé par la COCOE donne Jean-François Copé vainqueur avec 98 voix d’avance sur François Fillon.

Jean-François Copé est donc élu Président de l’UMP avec 50,03 % des voix, face à François Fillon qui n’obtient que 49,97 % des voix des militants au niveau national.

Les militants des Hauts-de-Seine se sont mobilisés très fortement pour cette élection, ce qui a obligé les bureaux de vote à fermer plus tard que prévu (après 18 heures), en raison de cette forte affluence.

Ce fût un bel exercice de démocratie au sein de notre parti politique et la victoire ce soir, c’est surtout la victoire de la participation, qui a montré que cette élection intéressait les français.

La Charte a été approuvée à 96,92%.

Le résultat des motions dans les Hauts-de-Seine : 26,40% pour la Droite Forte, 22,30% pour la Droite Sociale, 14,10% pour le Gaullisme, 13,80% pour les Humanistes, 11,21% pour la Boite à Idées, 6,96% pour la Droite Pop.

Veuillez trouver ci-joint le résultat des différentes circonscriptions des Hauts-de-Seine.

Traité Européen & Désillusion Economique

Les prévisions de l’INSEE sont tombées début Octobre. Selon le rapport de l’institut, la croissance ne dépassera pas les 0.2%… Cette stagnation aura pour conséquence une explosion du taux de chômage qui dépassera les 10% d’ici fin 2012.

Dans ce contexte de croissance en berne, peut-on réellement se réjouir de la ratification du Traité Européen et de sa fameuse règle d’or ? D’un côté, on répond par l’affirmative : une gestion sérieuse et un déficit sous contrôle ne peuvent qu’être d’excellents choix pour retrouver l’indépendance financière d’une Nation. D’un autre côté, il faut être conscient que c’est justement en période de crise que l’Etat Providence doit jouer son rôle et apporter son soutien à l’activité économique via un accroissement de ses dépenses, donc du déficit.

Ainsi, dans la situation que vivent actuellement la France et au-delà l’Europe, une contraction brutale des dépenses de l’Etat couplée à une augmentation toute aussi brutale de la fiscalité pesant sur les ménages et les entreprises peut paraitre inappropriée. En effet, une analyse simple conduit aux conclusions suivantes :

  • Une augmentation de la fiscalité sur les ménages va réduire la quantité de revenu disponible pour consommer. Ainsi, la demande intérieure va diminuer.
  • La diminution de la demande intérieure n’est pas une fatalité en soit dans le cas où elle est compensée par une hausse de la demande en provenance du Reste du Monde (augmentation des exportations).
  • Cependant, la hausse des charges (au sens large) pesant sur les sociétés limite leur compétitivité. Cela implique que la réduction de la demande intérieure ne sera pas compensée par une hausse de la demande étrangère en raison d’une compétitivité limitée (NB : une politique monétaire déflationniste aurait permis ce gain de compétitivité).
  • Les entreprises, confrontées à une diminution de la demande réduisent leurs effectifs. Cela conduit à une hausse du chômage et de facto à une diminution de la demande.
  • Ce double constat en amène un autre : un accroissement du déficit dû à une hausse des dépenses de l’Etat liées au coût du chômage et une réduction des recettes de la fiscalité directe (sur les revenus) et indirecte (sur la consommation).

Le tableau dépeint est loin d’être idyllique. Le Traité Européen laisse, cependant, une porte de sortie aux Etats dans la mesure où il prévoit une dérogation au principe de la Règle d’or en cas de crise économique… Dans ces conditions, quel choix effectuer ? Adopter vision « court termiste » en  choisissant le couple « hausse de la fiscalité & diminution des dépenses d’Investissement de l’Etat » ou bien adopter une vision à long terme privilégiant une diminution généralisée de la fiscalité afin de relancer la demande intérieure (hausse du pouvoir d’achat des ménages) et la compétitivité de nos entreprises (qui bénéficieraient à la fois du soutien de la demande intérieure et d’opportunités au niveau extérieur). L’arbitrage est en cours ce lundi.

Pourquoi tant de violence ?

Depuis quelques mois, nous nous apercevons d’une recrudescence de la violence en France. Ceci n’est pas sans rappeler, les violences intervenues à la fin de l’année 2005, alors même que Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur. Des voitures brulaient un peu partout en France, et principalement dans certains quartiers. Le Ministre de l’Intérieur avait réussi à mettre fin à cette violence. Il avait su ramener l’ordre public.

Une fois élu, Président de la République, Nicolas Sarkozy avait continué à mener une politique ferme vis-à-vis de ces comportements jugés inacceptables par la société. Ces actes de haine, de mépris et même de peur avaient cessé.

En 2012, avec les socialistes au pouvoir, c’est à nouveau le laxisme qui prédomine et les délinquants l’ont bien compris. Tous ceux qui veulent vivre de petits trafiques et semer la terreur pour développer leur « Business », choississent la France pour créer leur « Entreprise », comme un banquier choisirait Londres pour ses projets investissements.

La France est devenue un pays libre pour les délinquants et attirent tous ceux qui veulent jouer les caïds. Le Président de la République, François Hollande, ne mesure pas du tout l’ampleur de la situation, comme, il n’avait pas mesuré, l’ampleur de la crise financière. Son gouvernement fait semblant d’ignorer l’ampleur des violences actuelles parce qu’il n’a pas de solutions. Ses violences ont commencés à Amiens, cet été, pendant que François Hollande était au « Fort de Brégançon », et elles se poursuivent, avec l’assassinat de deux jeunes près de Grenoble, ou encore, par le démantèelement de cellules terroristes lourdement armés, que l’on disait instrumentalisés par l’ancien Président de la République, depuis l’affaire Mohamed Merah.

A l’approche des fêtes de Noël et de la Saint-Sylvestre, à quels types de violences devons-nous nous attendre ? Est-ce que le gouvernement a mesuré l’ampleur des violences qui se propagent dans le pays, depuis son élection ? Est-ce que le retour de cette vague de violence, n’est pas le fruit d’un retour au pouvoir d’une gauche laxiste et permissive, ou du moins perçu comme tel par les délinquants eux-mêmes ? Est-ce qu’en élisant François Hollande à la Présidence de la République, les français n’ont pas donné aux délinquants, une autorisation de semer le trouble et le désordre dans le pays, voire de tuer, en bande s’il le faut ?

Si aujourd’hui, les français plébiscitent le retour de Nicolas Sarkozy, c’est parce qu’ils ont peur de ce qui risque de se passer, ils ont peur pour leur avenir et l’avenir de leur pays. Les délinquants ont jugé le Président de la République et son gouvernement. Ils ont vu qu’ils n’avaient aucun charisme, aucune autorité, pire encore, aucune volonté de punir les délinquants, pour des raisons purement idéologiques. Ils n’ont aucun souci à se faire en terme de sanction. Ils savent qu’ils ne seront pas punis. La Loi, le gouvernement et les magistrats (c’est à dire, les trois pouvoirs) sont de leurs côtés, avec une gauche au Sénat, à l’Assemblée Nationale et à la Présidence de la République.

Il ne faut s’étonner de voir tant de violences, car c’est ce à quoi nous nous attendions avec l’élection de François Hollande, et c’est la raison pour laquelle, nous avons soutenu la réélection de Nicolas Sarkozy. Il ne faut pas non plus s’étonner que le gouvernement soit inapte à faire face à cette montée de violences qui poursuit lentement, mais surement, son ascension, car ce n’est pas avec son positionnement idéologique qu’il arrivera à endiguer cette vague de violence, malgré tous les efforts de son Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

Vous ne vous étonnerez pas non plus, que les côtes de popularité de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault, continuent de descendre en flèche, pendant que la courbe des violences faites aux personnes monte.

Finalement, comme nous nous attendions tous et toutes, François Hollande et le gouvernement perdent la main sur, tout petit à petit, que ce soit au sein de la majorité (avec le non au Traité Européen des Verts) ou à l’international (avec le manque de crédibilité flagrante sur la scène internationale), et ceci à quelques mois de son élection. A ce rythme là, François Hollande perdra la main sur le pays et il ne sera plus écouté par les français. Il aura beau faire des beaux discours à la télé, au rythme où vont les choses, dans un an, le pays va être métamorphosé et des ripostes vont commencer, et les appels au calme ne suffiront pas pour stopper des actes de violences qui sont parties pour durer.

Soyez-en sures.

Moi, Candidat de la République…

Nous étions tous, très certainement, devant notre poste de télévision, hier soir pour voir François Hollande, le Président « Normal », nous expliquer comment il allait faire pour sortir la France de la crise « exceptionnelle », qu’il a découvert cet été, alors qu’il passait des vacances au Fort de Brégançon.

Mais, au lieu d’un « Président », nous avons eu droit à un « Candidat ». On se rappelle tous la phrase prononcé une bonne quizaine de fois, lors du débat de l’entre-deux tours le l’élection présidentielle. Le « Moi, Président de la République,… », qui nous a marqué tous. Si Nicolas Sarkozy s’est véritablement révélé comme le Président de la République, quand est arrivé la crise financière. L’ironie, est que François Hollande, même élu, restera un éternel candidat, incapable de prendre des responsabilités et toujours enclin à faire des promesses.

Il nous dit que dans deux ans, la crise sera passé. Une promesse de plus. Claire Chazal aurait certainement dû lui demander que ferait-il si, dans deux ans, les mesurettes du gouvernement ne fonctionnent pas ? Que fera le « Candidat de la République » ? Une nouvelle série de promesses peut-être.

A moins que tout ceci n’est pas destiné à redresser l’économie de la France, mais, uniquement à faire remonter sa côte de popularité. Il nous a parlé de taxer à 75% tous les revenus au-dessus de 1 million d’euros, au nom du patriotisme économique. Cette mesure « exceptionnelle » ne doit durer que 2 ans, le temps de redresser l’économie française. Le patriotisme en France, ne dure pas plus de deux ans.

Quand les socialistes commencent à faire du nationalisme, déguisé en patriotisme, on doit s’attendre au pire.

Et si, Nicolas Sarkozy avait eu raison ? Nous, on le savait déjà. Nous n’avons pas besoin de lire les unes des magazines qui ont fait de l’anti-sarkozisme pour le savoir. On l’a toujours su…

Hollande : Un Président, Bon à « Presque » Rien

Il est peut-être un tôt pour le dire, mais au vue des nombreux ajustements nécessaires en cette rentrée, il n’y a aucun doute que le Président n’est pas en phase avec les français. Ses préoccupations ne sont pas nos préoccupations, ses solutions ne répondent pas à nos problèmes, ses décisions sont inexistantes et sa « normalitude » le ridiculise au point, qu’il se voit obliger de devoir jouer un nouveau rôle. C’est un acteur du mensonge.

Il pensait pouvoir mentir, accuser Nicolas Sarkozy et s’en sortir pendant 5 ans, en attendant que la crise passe. Sauf que la crise ce n’est pas une caravane et les français, ne sont pas des chiens, qui aboient pour rien.

Si François Hollande s’attendait à relancer l’économie par la croissance, il est forcé de constater que tous les pays prennent des mesurent pour créer de la croissance, sauf la France, qui attend que « ça se passe ».

François Hollande veut rester au-dessus de la mélée et donner le cap en laissant son Premier Ministre, s’occuper du quotidien. Il voulait rétablir une « Monarchie Bourgeoise » où il serait à la tête, tel le Monarch et ses sujets, avec des problèmes jamais assez importants pour qu’il daigne s’en occuper. Délaissant cela à un Premier Ministre tellement effacé qu’il ne fait de l’ombre ni à son Monarch, ni à ses ministres. Mais, après cinq années du sarkozysme, les français ont été habitués à de l’action, à de la réaction, à du mouvement, car comment avancer autrement ?

Alors, nous voici rentré dans une nouvelle phase de la présidence, maintenant que le Monarch de la République a pris conscience de la gravité « exceptionnelle » de la crise financière. Ah, finalement, ce n’était pas la faute de Nicolas Sarkozy. Donc, il ne suffit pas de défaire tout ce qu’il a fait pour être en situation de croissance. Peut-être qu’il faudra même refaire ce qui a été défait dans la hâte et la précipitation pour plaire à un électorat trop populaire pour être solidaire, afin de pouvoir renouer avec une situation de croissance.

Les Roms, Manuel Valls, Ministre de l’Intérieur, continuent le démantèlement à Lille début août, car trop voyant pour Martine Aubry. Ils sont mieux loin de chez elle. Pourquoi pas les installer en banlieue ?

La Pub sur France TV : Jérôme Cahuzac, Ministre Délégué au budget, annonce le retour après 20h. Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture, le désavoue.

Le nucléaire : Arnaud Montebourg parle d’une « filière d’avenir ». A bon ?

Nicolas Sarkozy avait une vision pour la France, François Hollande a des illusions pour les français. Et si finalement, la force de François Hollande, c’est quand il ne fait rien, car après avoir passé ses 100 premiers jours à défaire, il ne sait plus quoi faire. Le temps de la campagne est belle et bien terminé et c’est maintenant le temps de la désillusion pour lui et son gouvernement.

La rentrée des Jeunes Actifs

C’est la rentrée politique des Jeunes Actifs des Hauts-de-Seine.

Jeudi 30 aôut 2012, nous étions tous réunis à la Fédération UMP des Hauts-de-Seine, à Neuilly-sur-Seine pour préparer les évènements de la rentrée politique et ils sont nombreux.

  • Une fête départementale sera organisée par la Fédération UMP des Hauts-de-Seine pour tous les militants, au prix de 10 € (prix à titre indicatif).
  • Nous organiserons plusieurs cafés politique dans toutes les villes du département, ainsi que nous mettons en place un bureau de Jeunes des Hauts-de-Seine, dont les dates vous seront communiquer ultérieurement.

Mais pour l’instant, l’heure est à la mobilisation pour la Présidence de l’UMP et tous nos militants ont les yeux rivés vers leurs candidats. Certains osent se prononcer pour tel ou tel candidat, d’autres sont plus réticents. En politique, il ne faut absolument pas avoir peur de s’engager. C’est le jeu de la démocratie de pouvoir soutenir tel ou tel candidat sans être critiqué ou jugé. Certes, comme dans chaque élection, il y a toujours des indécis.

Nous devons nous mobiliser pour que, dans notre département, il y ait un maximum de parrainnages de la part de nos adhérents.

Cette élection est le moment de se rapprocher de nos militants et d’avoir de nouveaux adhérents. Il faut que nos militants retrouvent le chemin de nos permanences dans toutes les villes des Hauts-de-Seine. C’est l’occasion ou jamais, de montrer qu’après une défaite, l’UMP reste mobiliser pour les prochaines échéances électorales, qu’elles locales ou non.

Quelque soit le résultat des élections à la Présidence de l’UMP qui se tiendront en novembre de cette année, nous devrons rester unis et mobilisés. 

Le prochain président de l’UMP devra nous mener aux victoires que nous espérons tous. Il, ou elle, devra être le principal opposant à François Hollande et au gouvernement actuel. Il, ou elle, devra bâtir un vrai projet pour notre parti politique et pour la France.

Nous devons tous nous mobiliser pour cette élection pour faire gagner notre parti politique et montrer à la France entière, que nous avons des valeurs, des idées et un projet.

Encore une fois, mobilisons-nous tous, pour faire face aux socialistes, mobilisons-nous tous, pour un grand mouvement populaire… Appelons tous nos adhérents à parrainner le candidat qu’il préfère. Plus il y aura de parrainnage, plus nous montrerons aux français que cette élection intéresse et que nous existons et continuerons d’exister.

Soyons nombreux à faire vivre notre parti politique et Bonne Rentrée Politique 2012 à tous

C’est la rentrée…politique

Bonjour à tous. Nous espérons que vous avez passé de bonnes vacances et que cette pause estivale vous a permis de vous ressourcer, de vous reposer et de faire le plein d’énergie après une année électorale intense.

L’été a été très riche en évènements politiques.

Notre cher président normal a pu montrer tout son talent. A peine élu, et en pleine période d’essai, il se permet de prendre des vacances. Pendant ce temps-là, son gouvernement prenait des décisions qui allait à l’encontre de l’intérêt des français, comme la suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires. Normal, vous me direz, c’est Nicolas Sarkozy qui l’avait instauré ?

Qu’en est-il de la Syrie ? Qu’en est-il des évènements qui se sont déroulés à Amiens ? Il nous a dit suivre les affaires depuis le Fort de Brégançon, alors pourquoi avoir des conseils des ministres ? Pourquoi ne pas tout gérer du Fort de Brégançon dans ce cas ? La France a-t-elle besoin d’un président normal, quand sa situation économique est anormale ?

Nous avons pu assister, non pas au défilé d’un Président de la République, qui se préoccupait du bien-être de ses citoyens, mais à celui d’un Monarch de la République, qui se souciait davantage de sa côte de popularité, en se baladant de village en village.

Alors, à la rentrée, tout son gouvernement se mobilise, non pas pour réduire le déficit, mais pour augmenter la côte de popularité du Monarch de la République. Celui même qui nous disait qu’en tant que « Président de la République, il ne traiterait pas son Premier Ministre comme un collaborateur », il a omis de nous dire, qu’en tant que Monarch de la République, il traiterait son Premier Ministre comme un serveur. Si l’Elysée était un café, Ayrault aurait un tablier.

Que fait le gouvernement pour le pouvoir d’achat des français ? Il baisse le super de 6 centimes. C’est à dire, que pour cent litres de super, les français économiseront 6 euros. De quoi s’acheter un paquet de bonbons.

Vous l’aurez compris. Après 100 jours, notre président n’a pas fini d’enchaîner les déconvenues et les français se rendent compte que François Hollande n’a pas de projet pour sortir la France, d’une part, et l’Europe, d’autre part, de la crise. La zone euro ne peut pas compté sur la croissance pour se sortir de la crise. La Grèce est en récession, l’Espagne aussi… Cette année 2012 se terminera, d’après les spécialistes, avec un nombre de chômeurs supérieur à 3 millions en France. Normal, vous me direz que sa côte de popularité baisse ?

Il faut que nous nous mobilisons pour faire face à ce gouvernement de pacotille, qui n’a aucune vision, aucun destin, rien à nous proposer, à part des mesurettes pour satisfaire son électorat, et rien, absolument rien, pour redresser l’économie française.

Nous vous attendons plus nombreux cette année encore pour proposer une vraie alternative aux français. Nous devons reconquérir tous les postes de la République et préparer les prochaines échéances électorales qui s’annonce. 2017 se prépare maintenant. Mais avant, il nous faut gagner aux municipales en 2014.

Alors, mobilisons-nous et soyons présents sur le terrain pour recueillir les inquiétudes des français. Soyons proches de notre électorat, soyons proche de nos citoyens.

Le combat n’est pas terminé. Il ne fait que commencer…